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Val.
Fausse alerte, on ne montera pas aujourd’hui (c’est con, on s’était gavé de féculents la veille au soir pour assurer aujourd’hui !).
La pluie tombe bien, et en non-stop, depuis la veille 18h jusqu’à aujourd’hui 14h. Pas un seul moment de répit pour ranger le campement. On reste donc bloqué toute la journée dans la tente.
Tant pis, on s’occupe du blog en attendant, et on se repose, ça ne fait pas de mal.
Vers 17h, on sort prendre l’air un peu, et on tombe pile-poil sur le moment qu’ont choisi des milliers d’oies pour partir en migration. C’est super beau, avec le coucher de soleil en plus (pas sûr que ça rende aussi bien sur nos photos, dommage…).
Le phénomène dure plusieurs heures puisqu’on les entendra toujours passer plusieurs heures plus tard, bien au chaud (euh non, pas vraiment en fait, on se les caille !) dans la tente.
A chacun sa migration : en volant ou en pédalant. Joli moment !
Bravo pour votre persévérance, tant au niveau du vélo (on pense souvent à vous, en particulier quand il fait mauvais et froid et on espère que vous trouvez un toit et surtout un endroit bien chaud et bien sec pour passer la nuit) qu’au niveau de l’écriture du blog (nous avons lu jusqu’au jour 52).
Merci de prendre tout ce temps pour nous faire partager votre périple.
Bisous à vous et bon courage.
Martine
Merci pour ce gentil message, et merci à vous de suivre nos aventures !!!
C’est vrai que mettre à jour le blog (et s’y tenir) n’est pas forcément la chose la plus fun du monde, mais ça nous fait tellement plaisir de recevoir des messages comme les vôtres, et de voir que les gens prennent plaisir à suivre nos aventures, que ça vaut le coup !
Nous sommes au chaud ce soir, mais on repart dans le froid demain. Jusqu’à présent, nous avons eu quand même énormément de chance avec nos rencontres, pourvu que ça dure 😉
Bisous à la famille, et à bientôt !